Dans le canton d’Uri, l’italien est proposé depuis 2012 en secondaire comme branche facultative que les élèves peuvent choisir de suivre en plus du programme obligatoire. La particularité de cette offre est que les cours sont principalement dispensés par retransmission sur une plateforme en ligne. Plutôt qu’une tentative de modernisation, cette proposition tient plutôt de la solution de secours : les différentes communes et volées enregistrent trop peu d’inscriptions pour pouvoir se permettre d’organiser des cours sur place.
Dans leur commentaire, Sabine Christopher et Elena Maria Pandolfi expliquent en quoi la mobilisation du canton d’Uri est particulièrement louable. Elle prouve que malgré des obstacles pratiques comme le manque de moyens financiers, des horaires déjà bien remplis et un faible nombre d’intéressés, on trouve toujours le moyen de maintenir des cours de toutes les langues nationales à l’école.
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Dans leur commentaire, Sabine Christopher et Elena Maria Pandolfi expliquent en quoi la mobilisation du canton d’Uri est particulièrement louable. Elle prouve que malgré des obstacles pratiques comme le manque de moyens financiers, des horaires déjà bien remplis et un faible nombre d’intéressés, on trouve toujours le moyen de maintenir des cours de toutes les langues nationales à l’école.
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